Smoking, Sundress ATM & Creampie

Aujourd'hui, on parle de Ladyboys avec l'une des dernières scènes de Ladyboy Gold. En l'occurrence, Smoking, Sundress ATM & Creampie (époustouflante, robe d'été, éclair au chocolat et éjaculation interne.)
Ladyboy Gold, c'est le gonzo trans de la vieille école. Des trans Thaïlandaises (ou ladyboys) filmées à la chaine. Les partenaires masculins n'apparaissent pas à l'écran. Les filles ayant un anglais souvent très, très limité, il n'y a pas de dialogue. Et des chambres d'hôtel servent de studio.

Ladyboy Ladyboy (Grooby) prétend avoir inventé la formule en 1999.

Ladyboy Gold fut créé en 2007 et il appartient au mystérieux Island Media Group. Il y eu d'autres sites plus ambitieux, sur ce thème, comme Ladyboy Guide, Extreme Ladyboy, Ladyboy Stunners, Little Asian Transexuals... Mais ces sites ont disparu, alors que Ladyboy Gold est toujours là !
Quel que soit le site, les ladyboys n'ont souvent qu'un prénom. Les notices biographiques se limitent à dire qu'elles sont Thaïlandaises et qu'elles adorent le sexe. Seule Amy Amour avait réussit à émerger.

Tata a déjà tourné 11 scènes pour Ladyboy Gold, toutes en duo. Son point fort, c'est indubitablement son côté mutin, avec ses regards en coin.
L'autre particularité de ce site, c'est qu'il y a très peu de montage, d'où un métrage variable d'une scène à l'autre.

Après avoir effectué un strip-tease très sensuel et exhibé ses charmes, Tata prend son partenaire en bouche.
Dans la plupart de ses scènes, Tata effectue une feuille de rose à l'acteur. Elle ne s'en prive pas, là...
Sur certaines scènes de Ladyboy Gold, les actrices offrent d'emblée leurs fesses. Ici, les préliminaires sont longs et les deux acteurs frottent leurs sexe l'un contre l'autre.
Puis, elle se gode l'anus.

Signalons qu'il lui ait arrivé de goder son partenaire. Mais elle n'a pas tourné de scènes actives.
Pour finir, voici la pénétration... Ladyboy Gold diffuse de longues bandes annonces, qui se suffisent à elle-même et font le bonheur des tubes.

Notez que certains sites malfaisants reprennent ces bandes annonces en y ajoutant leur watermark. Et si vous visitez le site, vous tombez sur un malware.
De plus, il arrive à Island Media Group de "recycler" ses scènes sur d'autres sites. De quoi embrouiller le spectateur entre source originelle, scène recyclée (légalement) et site de malware...

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