Ici, Luna Rival travaille dans un hôtel. C'est d'autant plus cocasse que dans la vraie vie, avant d'être actrice porno, la Bourguignonne a fait l'école hôtelière !
Il faudrait améliorer la mise en scène.
La chambre est nickel. Or, d'ordinaire, lorsque quelqu'un débarque dans une chambre, il a tendance à étaler ses affaires partout ! Déjà, où sont les habits du clients ? Il n'a pas débarqué nu !
De plus, il se masturbe sous la douche, le sexe hors de la cabine. Déjà, en 2020, on a tendance à sortir qui son portable, qui son ordi, pour se mâter une scène bien chaude... En plus, pourquoi avoir le sexe à l'extérieur de la douche ? C'est mieux pour la réalisation. Mais en pratique, personne ne compte répandre sa semence dans toute la salle de bain ! On se masturbe au-dessus de la cabine de douche ou du lavabo. Une fois sous affaire faite, on ouvre le robinet et le sperme est évacué !
L'actrice est d'ailleurs excellente pour jouer la confusion d'une mateuse débusquée et émoustillée.
Et puis, il y a l'univers de l'actrice, avec sa frange et sa queue de cheval. Jouer les soubrettes sans culotte, dans un petit hôtel de province, cela colle bien à son personnage. Lorsqu'Amour et popotin d'Esparbec est sorti en 2005, l'image que j'avais de Victorine était peu ou prou celle-ci...
Enfin, sur la mise en forme, Mariska est très douée. Même s'il y a des détails qui clochent, elle arrive à bâtir un scénario et un tension érotique avec peu de moyens.
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