Le nom Cospuri (NDLA : pas très heureux en français) est une lecture des caractères Japonais de "cosplay". En fait, Cosplay s'écrit コスプレ (Co su pu re), mais quelqu'un qui connait très mal le japonais ne saura pas faire la différence...
Car ne nous mentons pas, beaucoup de "fans" de cosplay se fichent des manga, voire de la culture japonaise. Ils veulent surtout se rincer l’œil avec de jolies Asiatiques.
Ici, on ne nous précise même pas qui Ria Kurumi est censée incarnée. On dirait d'ailleurs davantage une race queen.
En tout cas, l'actrice joue le jeu. Elle est tour à tour un farouche ingénue...
Avant de simuler l'acte sexuel avec un partenaire invisible...
Après avoir fait la belle avec son Audi R8, elle entame un strip-tease...
De nouveau, elle commence de manière très soft...
Avant de montrer ses fesses en gros plan à la caméra !
Hélas, c'est tout pour aujourd'hui.
Cospuri étant d'ailleurs un site jusqu'ici plutôt soft.
Les critiques viennent de toutes parts. Par définition, les cosplayers s'inspirent de personnages d’œuvres de fiction, on flirte avec les règles sur le copyright. Le cosplay s'est développé au Japon, puis en extrême-orient et dans les diaspora asiatiques. Certains y voit une nouvelle représentation stéréotypée (voire raciste), comme la geisha. Et plus généralement, le cosplay se base sur la complexité des costumes. Les premiers cosplayers prenaient un malin plaisir à coudre eux-mêmes leurs habits et à chiner les accessoires. Mais trop souvent, dans le porno, on veut aller vite. D'où des costumes cheap, souvent trop ample pour les actrices.
Et Cospuri ? Pour l'instant, il dispose d'une poignée de scènes, tournées au Japon (mais sans floutage.) De plus, l'image est soignée, comme toujours chez Snow Valley Group.
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