Asian Cheerleaders


Larry Flynt a vécu la chute de son empire, de son vivant. Chantre du porno hard, Hustler avait logiquement sauté le pas avec l'arrivée du gonzo. Larry Flynt y mit sa touche : présence de pipoles et parodies destinées à mieux ridiculiser les politiciens. Puis d'autres ont fait mieux. Surtout, Larry Flynt était incapable de déléguer, quant à nommer un successeur... D'où une qualité allant descendo. Voici ainsi Asian Cheerleaders (2021.)

En France, les majorettes n'ont rien d'érotique. Elles sont associées au fanfares et aux foires agricoles, donc elles sont plutôt ringardes. Quant aux pom-pom girls, elles sont absentes des évènements sportifs.

Aux Etats-Unis, par contre, les cheerleaders sont une partie intégrantes des sports collectifs, notamment le football américain et le basketball. Surtout dans les tournois universitaires. Elles dansent et font des acrobaties à chaque temps mort. Et beaucoup d'Américains fantasment sur ces adolescentes en jupettes.

On a donc le classique films de teens... Enfin, des teens... Ember Snow avait 30 ans, lorsqu'elle tourna ce film... Et le lycéen enamouré, Brad Newman, approchait la quarantaine d'unités !


On poursuit avec Lulu Chu, alors en début de carrière. Elle se fait prendre dans une arrière classe de gym.


Autant Lulu Chu et Ember Snow ont toujours eu un air juvénile, autant Luna Mills a l'air plus vieille. C'est pourtant la benjamine du lot !

Les cheerleaders sont censées être des athlètes. Luna Mills, avec ses rondeurs, n'est pas très crédible...


C'est très vanila. B Skow, un simple tâcheron, a du mal à placer sa caméra et l'image est assez terne.

Vina Sky, la seule fille un peu souple du lot, s'offre quelques positions un peu acrobatiques.


Commentaires