Il a voulu imiter le Backroom casting couch et il se retrouve en prison

Le principe de base du "porno-réalité", c'est de nous faire croire que tout est improvisé. Vous rencontrez une fille dans la rue et vous la sautez, devant une caméra. Voire, dans le cas du Backroom Casting Couch, vous lui promettez qu'elle deviendra une star du X.
En pratique, ça serait illégal de faire cela. Beaucoup de pays considéreraient cela comme de la prostitution ou de l'escroquerie.

Mario Ambrose Antoine, de Kansas City, l'a appris à ses dépends. Ce photographe de mariage a voulu faire comme le BCC. Il a déposé différents sites, dont Playboy-Asia.com, afin de faire croire qu'il était recruteur chez Playboy. Des filles postulaient. Il leur faisait passer un casting, promettant des contrats mirifiques avec Playboy. En guise de preuve, il leur montrait des contrats de filles imaginaires qu'il avait recruté par le passé. Puis, afin de voir leur "talent", il se les tapait devant la caméra. Après coup, si elle se plaignaient, il menaçait d'envoyer le film à des proches ou à des collègues.
Au final, il fut mis en examen pour faux, usage de faux, extorsion de fond et des infractions liées à l'emploi frauduleux de Playboy. Antoine préfère plaider coupable, ce qui lui vaut une peine de dix ans de prison.

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