Le site a diffusé une vidéo de quelqu'un aspergeant d'essence les supposés disques durs du serveur, puis y mettant le feu (NDLA : en manquant plusieurs fois de se brûler lui-même.)
L'essentiel du site était composé de fiche d'actrices pornos US, avec leurs vrais noms et parfois, leur adresse (ou les coordonnés de parents.) De quoi mettre en danger les actrices. Bosco, responsable de l'agence XXX Star PR, aurait ainsi diffusé les coordonnés des personnes avec qui il était en froid. Le site amateur GirlsDoPorn aurait lui-même chargé sa base de donnés.
Il y avait également des notices biographique oscillant entre le grotesque et le diffamatoir (NDLA : en gros, d'après le site, toutes les actrices se prostituent et fument du crack.)
La deuxième partie, c'était un trombinoscope de toutes les actrices et acteurs ayant eu maille à partir avec la justice.
La troisième partie, plus controversée, portait sur les IST. Depuis toujours, les acteurs effectuant des tournages gay et hétéros, sont soupçonnés d'importer des IST dans le porno hétéro. Le producteur Donny Long, créateur supposé des Porn Wikileaks, avait lancé un fichier de ces acteurs bi.
Par la suite, le site avait eu accès aux bases de donnés d'un centre de dépistage spécialisé, diffusant la sérologie des acteurs et actrices.
Or, cette base-là s'adressait davantage au milieu du X US. La peur des IST est un non-dit du milieu. Le suivi médical n'a pas calmé les gens. D'autant plus que la FSC a tenté d'imposer un système permissif. La crainte reste et il y a donc un risque à voir un autre site émerger...
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