Lust Cinema nous a habitué à sélectionner des films avec de la comédie. Cette fois-ci, ils ont sélectionné un ovni : une série de scènes très esthétisantes. A savoir, Carnal de Brad Armstrong pour Wicked.
Carnal (charnel), voilà un titre définitif. Ajoutez-y un style très esthétisant et cela rappel Sex et Latex de Michael Ninn et toute une flopée de porno à gros budget (mais avec peu de sexe) de la période 1995-2005. Brad Armstrong connait d'autant plus ce style qu'il avait alors lui-même tourné Conquest, Flashpoint ou Manhunters dans cette veine.
Dans la première scène, on voit justement débarquer l'égérie de Wicked, Jessica Drake, habillée en papillon.
Ces films étaient prétentieux et les scènes de sexe, bâclées. Les boites qui les produisaient (VCA, Vivid...) ont coulé, parce que le spectateurs n'a pas envie de voir ces scènes avec trop de maquillage, de costumes, de décors, d'effets spéciaux, etc. Des scènes où les acteurs batifolent pendant des heures avant de se déshabiller... Tout cela pour une scène très vanila...
Et voilà que l'on nous ressert cela aujourd'hui !
Par acquis de conscience, j'ai quand même regardé la suite. Et très vite, la scène devient hard. Avec un final sur une double-pénétration, avec Tommy Gunn et Ryan Driller. Ça, ce n'était pas dans ce style de film !
C'est déjà mieux que prévu. Il faut néanmoins savoir rester sur ses gardes. Après tout, des films X qui commencent par une scène forte, puis s'effondre ensuite, c'est plutôt fréquent.
Effectivement, on voit Karma Rx et Lily Lane mettre en cage Small Hands. Encore une mise en scène typique du porno de la période 1995-2005.
Mais de nouveau, cela devient plus torride que prévu. Après un triolisme, Karma Rx utilise un spéculum comme sex toy anal sur Lily Lane...
Ainsi, Brad Armstrong reprend les poncifs du porno des années DVD, à la sauce hard.
Dans la troisième scène, on retrouve Jessica drake. Elle tourne aux côtés Mercedes Carrera, Angela White, Eric Masterson et un Brad Armstrong passé devant la caméra. Cette fois-ci, l'ambiance est au steampunk.
C'est un des derniers rôles de Mercedes Carrera, elle croupie actuellement dans une prison californienne. Son ex-mari l'accuse de se droguer et d'avoir abusé de leur fille. Le compagnon actuel de Mercedes Carrera, un vrai-faux ex-soldat, militant ultra-conservateur, omniprésent dans les affaires de l'actrice est assez trouble... Mais l'ex-mari, devenu un croisé anti-porno, l'est tout autant. Attendons donc le procès pour y voir plus clair. Hélas, pour cause de coronavirus, les audiences sont sans cesse repoussées.
Mercedes Carrera et Angela White jouent de leurs formes généreuses pour se peloter.
Puis la brune se caresse avec un godemichet steampunk en regardant Jessica Drake se faisant prendre.
L'autre grand poncif, c'est la scène orientalisante. Tia Kai, Nyomi Star, Kaylani Lei, Marica Hase et Ember Snow jouent les geisha de pacotille, dans un décorum mélangeant la Chine et le Japon.
Puis cela vire à l'orgie lesbienne.
C'est un peu ridicule de considérer qu'une femme a forcément besoin d'un phallus (fut-il artificiel) en elle pour jouir.
En tout cas, le nunchaku utilisé comme godemichet, c'est de l'inédit !
Pour le final, on est cette fois dans une ambiance Égyptienne.
Les Américains sont persuadés que les Égyptiens étaient noirs. Voici donc Sean Michaels jouant les pharaons...
Les Égyptiens adoraient la magie et après avoir joui, Sean Michaels se transforme en Natassia Dreams pour un second service...
Et voilà que Natassia Dreams se transforme en Ana Foxxx ! Elle, elle a besoin d'un gode-ceinture pour prendre Jessica Drake...
Carnal est donc un vrai régal pour les yeux. Là où le porno des années DVD n'était qu'esthétisant, Brad Armstrong y rajoute des scènes hard avec sodomies, double-pénétrations et gode-michets.
Un vrai régal.
Carnal (charnel), voilà un titre définitif. Ajoutez-y un style très esthétisant et cela rappel Sex et Latex de Michael Ninn et toute une flopée de porno à gros budget (mais avec peu de sexe) de la période 1995-2005. Brad Armstrong connait d'autant plus ce style qu'il avait alors lui-même tourné Conquest, Flashpoint ou Manhunters dans cette veine.
Dans la première scène, on voit justement débarquer l'égérie de Wicked, Jessica Drake, habillée en papillon.
Ces films étaient prétentieux et les scènes de sexe, bâclées. Les boites qui les produisaient (VCA, Vivid...) ont coulé, parce que le spectateurs n'a pas envie de voir ces scènes avec trop de maquillage, de costumes, de décors, d'effets spéciaux, etc. Des scènes où les acteurs batifolent pendant des heures avant de se déshabiller... Tout cela pour une scène très vanila...
Et voilà que l'on nous ressert cela aujourd'hui !
Par acquis de conscience, j'ai quand même regardé la suite. Et très vite, la scène devient hard. Avec un final sur une double-pénétration, avec Tommy Gunn et Ryan Driller. Ça, ce n'était pas dans ce style de film !
C'est déjà mieux que prévu. Il faut néanmoins savoir rester sur ses gardes. Après tout, des films X qui commencent par une scène forte, puis s'effondre ensuite, c'est plutôt fréquent.
Effectivement, on voit Karma Rx et Lily Lane mettre en cage Small Hands. Encore une mise en scène typique du porno de la période 1995-2005.
Mais de nouveau, cela devient plus torride que prévu. Après un triolisme, Karma Rx utilise un spéculum comme sex toy anal sur Lily Lane...
Ainsi, Brad Armstrong reprend les poncifs du porno des années DVD, à la sauce hard.
Dans la troisième scène, on retrouve Jessica drake. Elle tourne aux côtés Mercedes Carrera, Angela White, Eric Masterson et un Brad Armstrong passé devant la caméra. Cette fois-ci, l'ambiance est au steampunk.
C'est un des derniers rôles de Mercedes Carrera, elle croupie actuellement dans une prison californienne. Son ex-mari l'accuse de se droguer et d'avoir abusé de leur fille. Le compagnon actuel de Mercedes Carrera, un vrai-faux ex-soldat, militant ultra-conservateur, omniprésent dans les affaires de l'actrice est assez trouble... Mais l'ex-mari, devenu un croisé anti-porno, l'est tout autant. Attendons donc le procès pour y voir plus clair. Hélas, pour cause de coronavirus, les audiences sont sans cesse repoussées.
Mercedes Carrera et Angela White jouent de leurs formes généreuses pour se peloter.
Puis la brune se caresse avec un godemichet steampunk en regardant Jessica Drake se faisant prendre.
L'autre grand poncif, c'est la scène orientalisante. Tia Kai, Nyomi Star, Kaylani Lei, Marica Hase et Ember Snow jouent les geisha de pacotille, dans un décorum mélangeant la Chine et le Japon.
Puis cela vire à l'orgie lesbienne.
C'est un peu ridicule de considérer qu'une femme a forcément besoin d'un phallus (fut-il artificiel) en elle pour jouir.
En tout cas, le nunchaku utilisé comme godemichet, c'est de l'inédit !
Pour le final, on est cette fois dans une ambiance Égyptienne.
Les Américains sont persuadés que les Égyptiens étaient noirs. Voici donc Sean Michaels jouant les pharaons...
Les Égyptiens adoraient la magie et après avoir joui, Sean Michaels se transforme en Natassia Dreams pour un second service...
Et voilà que Natassia Dreams se transforme en Ana Foxxx ! Elle, elle a besoin d'un gode-ceinture pour prendre Jessica Drake...
Carnal est donc un vrai régal pour les yeux. Là où le porno des années DVD n'était qu'esthétisant, Brad Armstrong y rajoute des scènes hard avec sodomies, double-pénétrations et gode-michets.
Un vrai régal.
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