Pour Elisabeth Badinter, la tendance à la bisexualité est normale chez l'homme et quasi-inexistante chez la femme. Dans le porno, c'est l'inverse : la bisexualité masculine est inexistante et aucune femme hétéro ne peut résister à une jolie femme entreprenante...
Partant de ce principe, les Japonais ont inventé le "nanpa deep kiss". "Nanpa" est un terme qui désigne les jeunes gens (garçons et filles) qui recherchent en permanence des partenaires sexuels, quitte à aborder des inconnus. Quant à "deep kiss", il s'agit des baisers langoureux que les femmes s'échangent...
Les premières vidéos de Deep kiss apparaissent vers 2000. C'est alors plutôt soft. Une réalisatrice/camerawoman (hors caméra) aborde des filles dans la rue et elle les encourage à s'embrasser. Pour cela, elles se mettent à l'écart (souvent, dans un van aménagé en studio de tournage.) Après moult tergiversations, elles acceptent de s'embrasser quelques secondes, puis avec la langue, etc. Chaque DVD contient ainsi une dizaine de scènes de filles s'embrassant avec plus ou moins de conviction. Ce qui fait le sel de ces vidéos, c'est qu'elles sont a priori hétéro et qu'elles n'ont jamais embrassé une autre fille. Sans oublier le côté "fille du coin de la rue", typique du reality-porn.
Parfois, la réalisatrice leur propose d'enfiler un bikini un peu ample. L'occasion de voir de manière fugace un téton ou des petites lèvres...
Vers 2005, on change de braquet. Cette fois, une actrice joue les rabatteuses. Elle convainc une ou deux filles de la suivre à l'écart. On ne contente plus de petits bisous : l'actrice pelote, déshabille la volontaire et finit par lui faire l'amour. L'idée étant que la volontaire est tellement sous le charme qu'elle ne fait plus attention à la caméra ou au fait qu'elle n'a plus de culotte. Chaque scène se terminant différemment : doigtage, broute-minou, vibromasseur et pour le final, gode-ceinture !
Pour le côté "réaliste", il y a les longues palabres. Les filles parlent de tout et de rien, la volontaire est gênée lorsque l'actrice se montre trop entreprenante... Parfois, il peut se passer 10 bonnes minutes avant le premier baiser. Pour autant, il n'est pas rare que certaines "filles de la rue" apparaissent dans plusieurs vidéos...
En tout cas, l'amateur de porno lesbien japonais sera comblé !
Partant de ce principe, les Japonais ont inventé le "nanpa deep kiss". "Nanpa" est un terme qui désigne les jeunes gens (garçons et filles) qui recherchent en permanence des partenaires sexuels, quitte à aborder des inconnus. Quant à "deep kiss", il s'agit des baisers langoureux que les femmes s'échangent...
Les premières vidéos de Deep kiss apparaissent vers 2000. C'est alors plutôt soft. Une réalisatrice/camerawoman (hors caméra) aborde des filles dans la rue et elle les encourage à s'embrasser. Pour cela, elles se mettent à l'écart (souvent, dans un van aménagé en studio de tournage.) Après moult tergiversations, elles acceptent de s'embrasser quelques secondes, puis avec la langue, etc. Chaque DVD contient ainsi une dizaine de scènes de filles s'embrassant avec plus ou moins de conviction. Ce qui fait le sel de ces vidéos, c'est qu'elles sont a priori hétéro et qu'elles n'ont jamais embrassé une autre fille. Sans oublier le côté "fille du coin de la rue", typique du reality-porn.
Parfois, la réalisatrice leur propose d'enfiler un bikini un peu ample. L'occasion de voir de manière fugace un téton ou des petites lèvres...
Vers 2005, on change de braquet. Cette fois, une actrice joue les rabatteuses. Elle convainc une ou deux filles de la suivre à l'écart. On ne contente plus de petits bisous : l'actrice pelote, déshabille la volontaire et finit par lui faire l'amour. L'idée étant que la volontaire est tellement sous le charme qu'elle ne fait plus attention à la caméra ou au fait qu'elle n'a plus de culotte. Chaque scène se terminant différemment : doigtage, broute-minou, vibromasseur et pour le final, gode-ceinture !
Pour le côté "réaliste", il y a les longues palabres. Les filles parlent de tout et de rien, la volontaire est gênée lorsque l'actrice se montre trop entreprenante... Parfois, il peut se passer 10 bonnes minutes avant le premier baiser. Pour autant, il n'est pas rare que certaines "filles de la rue" apparaissent dans plusieurs vidéos...
En tout cas, l'amateur de porno lesbien japonais sera comblé !
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