Si comme moi, vous aimez les scènes de sodomie, je vous conseille Tushy !
Cette boite de production US (mais créée par un Français, Greg Lansky) s'est spécialisée dans l'anal. C'est bien simple : dans toutes les scènes, les filles finissent par offrir leur derrière.
Tushy n'est pas le premier sur ce créneau. D'habitude, dans le porno US, sodomie est synonyme de fille qui se fait cracher à la figure, puis qui crie comme une cochon qu'on égorge. Sans oublier les gros plans...
Chez Tushy, on se veut plus classe. Au début de la scène, les filles sont habillées normalement. Il y a des semblants de scenarii. La femme mariée qui profite de son anniversaire de mariage pour proposer à son mari d'essayer la porte de derrière... La fille qui console sa meilleure copine en lui proposant un plan à trois... La baby-sitter qui fantasme sur le père de l'enfant qu'elle garde... Car à chaque fois, c'est la fille qui prend l'initiative. Au début de la scène, tout le monde est habillée. Il y a de l'érotisme, de la tension sexuelle. La sodomie apparait comme un jeu amoureux. Et non une pratique bestiale.
D'ailleurs, "tushy" ou "tush" est un terme plutôt soft pour désigner les fesses (le pendant de "popotin" ou "joufflu" en français.) Et sur les jaquette, les actrices posent de 3/4 arrière, avec des string ou des body bien échancrés. On est dans la subtilité...
Côté filles, ce sont souvent des actrices débutantes (donc généralement des teens.) Contrairement à d'autres boites "généralistes", il y a aussi des noires et des Asiatiques... Et elles s'y comportent en filles "normales", loin des stéréotypes habituels du porno "éthnique"...
Le moins bien ? Les gens trouveront que non seulement, toutes les scènes se ressemblent, mais qu'en plus, la mise en scène rappelle furieusement New Sensation, Reality Kings, Vixen ou Blacked... Et pour cause : Greg Lansky y a travaillé (il dirige d'ailleurs Blacked, Vixen et Tushy.) Visiblement, il ne conait qu'une seule manière de tenir une caméra et une seule photographie...
Pour finir, visiblement, les filles ne sont pas choisies au hasard. Elles doivent avoir un look "fille normale" : donc pas de cheveux fluos, pas de seins siliconés, pas de piercing et pas de tatouage... Sauf que parfois, les filles sont tatouées. Alors, comme Charlotte Sartre, elles doivent porter ce pull mohair durant toute la scène !
Cette boite de production US (mais créée par un Français, Greg Lansky) s'est spécialisée dans l'anal. C'est bien simple : dans toutes les scènes, les filles finissent par offrir leur derrière.
Tushy n'est pas le premier sur ce créneau. D'habitude, dans le porno US, sodomie est synonyme de fille qui se fait cracher à la figure, puis qui crie comme une cochon qu'on égorge. Sans oublier les gros plans...
Chez Tushy, on se veut plus classe. Au début de la scène, les filles sont habillées normalement. Il y a des semblants de scenarii. La femme mariée qui profite de son anniversaire de mariage pour proposer à son mari d'essayer la porte de derrière... La fille qui console sa meilleure copine en lui proposant un plan à trois... La baby-sitter qui fantasme sur le père de l'enfant qu'elle garde... Car à chaque fois, c'est la fille qui prend l'initiative. Au début de la scène, tout le monde est habillée. Il y a de l'érotisme, de la tension sexuelle. La sodomie apparait comme un jeu amoureux. Et non une pratique bestiale.
D'ailleurs, "tushy" ou "tush" est un terme plutôt soft pour désigner les fesses (le pendant de "popotin" ou "joufflu" en français.) Et sur les jaquette, les actrices posent de 3/4 arrière, avec des string ou des body bien échancrés. On est dans la subtilité...
Côté filles, ce sont souvent des actrices débutantes (donc généralement des teens.) Contrairement à d'autres boites "généralistes", il y a aussi des noires et des Asiatiques... Et elles s'y comportent en filles "normales", loin des stéréotypes habituels du porno "éthnique"...
Le moins bien ? Les gens trouveront que non seulement, toutes les scènes se ressemblent, mais qu'en plus, la mise en scène rappelle furieusement New Sensation, Reality Kings, Vixen ou Blacked... Et pour cause : Greg Lansky y a travaillé (il dirige d'ailleurs Blacked, Vixen et Tushy.) Visiblement, il ne conait qu'une seule manière de tenir une caméra et une seule photographie...
Pour finir, visiblement, les filles ne sont pas choisies au hasard. Elles doivent avoir un look "fille normale" : donc pas de cheveux fluos, pas de seins siliconés, pas de piercing et pas de tatouage... Sauf que parfois, les filles sont tatouées. Alors, comme Charlotte Sartre, elles doivent porter ce pull mohair durant toute la scène !
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