Futanari

Aujourd'hui, on parle futanari ! Les Japonais sont de vrais spécialistes des fétiches étranges. Les futanari (deux-ensemble) sont de vraies femmes avec des sexe d'homme !
Le Japon possède une longue histoire de travestissement. Qu'il s'agisse de divinités hermaphrodites ou d'acteurs de théâtre qui incarnait l'autre sexe sur scène. Dans les années 80, plusieurs manga traitèrent de l'androgynie, notamment comme ressort comique. Le hentai commença à imaginer des filles avec des énormes sexe d'hommes.

Puis ce fut logiquement le tour du X. Le futanari est un genre très particulier. Les actrices sont des femmes "cis-genre" et non des travestis ou des transexuels. D'ailleurs, dans les films futanari, il n'y a jamais d'hommes. C'est un sous-genre du porno lesbien. D'ailleurs, dans le porno futanari, les filles ne sont ni plus féminines, ni moins féminines que d'ordinaire.

Au début, les actrices portaient des gode-ceintures et elles gardaient leurs culottes pour cacher les lanières. Aujourd'hui, elles portent des prothèses à même la peau. Assez perfectionnés, ils possèdent une position "repos" et une position "érection", sans oublier la possibilité d'éjaculer par saccades... curieusement, ces prothèses n'ont souvent pas de testicules.

Dans un porno futanari classique, une femme se retrouve d'un seul coup avec un sexe sur le ventre. Elle n'a alors qu'une envie : se taper sa meilleure amie ! Bien sûr, même si ce n'est qu'une prothèse en plastique, l'actrice membrée se doit de jouir bruyamment lorsqu'elle pénètre sa partenaire.
Parfois, la meilleure amie se retrouve elle aussi membrée et elles se montent à tour de rôle. Sachant que la pénétration est uniquement vaginale. Sauf si l'une des partenaires hérite de deux sexes, auquel cas, elle pénètre doublement sa partenaire (pour la scène finale.) L'autre scénario type, c'est d'enchainer les scènes avec les deux mêmes actrices, dans toutes les configurations (l'une membrée, l'autre, les deux...) Parfois aussi, les filles sont d'emblée équipée, comme si c'était normal.

Sur les tubes, hélas, on n'a souvent que du "futanari" US. C'est à dire des films lesbiens cheap, où elles portent d'affreux gode-ceintures, pas du tout réaliste. Notez aussi que beaucoup confondent futanari et transexuels. D'ailleurs, certaines trans se revendiquent "futa".