Playboy a désactivé son compte Facebook. Il y a toujours l'icône "F" sur le site, mais il débouche sur un message d'erreur.
Cooper Hefner, directeur créatif de Playboy -et fils d'Hugh Hefner- a annoncé le geste dans un tweet. Raison officielle : l'affaire Cambridge Analytica et les doutes sur la probité de Facebook. Effectivement, les 25 millions d'abonnés de la page Facebook du magasine au lapin souhaitaient sans doute un certain anonymat...
D'une manière officieuse, Playboy, comme nombre d'acteurs de l'industrie du X se retrouve en porte-à-faux. Les réseaux sociaux sont "tous publics" et ils ne leur offrent que des mauvaises solutions. Facebook fait particulièrement preuve de pudibonderie. La tentative de faire un Playboy "Facebook-compatible" fut un flop et le magazine a du rétropédaler. Sur le réseau social, le magazine est forcé de s'autocensurer, sous peine d'exclusion. Même chose sur Instagram (un comble pour un magazines de photos !) Sur YouTube, la menace, c'est la démonétisation. D'ailleurs, Playboy n'a plus posté de vidéo depuis des mois. Mais d'un autre côté, ces réseaux sociaux sont un canal essentiel pour toucher sa clientèle-cible.
En s'abritant derrière l'affaire Cambridge Analytica, Hefner Jr fait une sortie honorable. Mais cette absence de visibilité sur les réseaux sociaux est un gros problème. Ou plutôt, un problème de plus...
Cooper Hefner, directeur créatif de Playboy -et fils d'Hugh Hefner- a annoncé le geste dans un tweet. Raison officielle : l'affaire Cambridge Analytica et les doutes sur la probité de Facebook. Effectivement, les 25 millions d'abonnés de la page Facebook du magasine au lapin souhaitaient sans doute un certain anonymat...
D'une manière officieuse, Playboy, comme nombre d'acteurs de l'industrie du X se retrouve en porte-à-faux. Les réseaux sociaux sont "tous publics" et ils ne leur offrent que des mauvaises solutions. Facebook fait particulièrement preuve de pudibonderie. La tentative de faire un Playboy "Facebook-compatible" fut un flop et le magazine a du rétropédaler. Sur le réseau social, le magazine est forcé de s'autocensurer, sous peine d'exclusion. Même chose sur Instagram (un comble pour un magazines de photos !) Sur YouTube, la menace, c'est la démonétisation. D'ailleurs, Playboy n'a plus posté de vidéo depuis des mois. Mais d'un autre côté, ces réseaux sociaux sont un canal essentiel pour toucher sa clientèle-cible.
En s'abritant derrière l'affaire Cambridge Analytica, Hefner Jr fait une sortie honorable. Mais cette absence de visibilité sur les réseaux sociaux est un gros problème. Ou plutôt, un problème de plus...
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