Lena Kelly, embrochée de toutes parts pour Evil Angel. C'est en gros, le résumé de Lena Kelly's Double-Dick Ho-Down.
Ça pourrait être une scène gonzo trans ordinaire, mais elle a une particularité : pour la première fois, Lena Kelly est également derrière la caméra. L'actrice a ainsi réalisé plusieurs scènes, réunies dans Transnasty.
Comme d'habitude, Evil Angel l'a découpé, afin de diffusé chaque scène sur son site.
Le thème central de ces scènes, ce sont des transsexuels nymphomanes, qui vont très loin dans la recherche du plaisir...
Pour celle où elle participe, Lena Kelly a deux partenaires masculins : King Epicleus et Michael DelRay.
Pas de salamalecs ! Lena Kelly a les fesses à l'air dès la première seconde et très vite, elle a un sexe dans la bouche et un autre dans la main...
Ensuite, allongée sur une table, elle se fait pénétrer...
Lena Kelly n'a pas le charisme d'une Aubrey Kate (également à l'affiche de Transnasty.) Elle n'a pas non plus les ambitions parfois dévorantes de Venus Lux. Elle en est consciente.
Pour exister, son crédo, c'est de n'avoir aucune pudeur. Non contente d'être prise, elle écarte les fesses pour que son partenaire aille plus loin.
On a ainsi l'illusion que Lena Kelly aime se livrer sans retenu. Que ce qui l'intéresse dans cette scène, c'est de se faire pilonner, encore et toujours. Et que même si la caméra ne tournait pas, elle ferait pareil !
Ça pourrait être une scène gonzo trans ordinaire, mais elle a une particularité : pour la première fois, Lena Kelly est également derrière la caméra. L'actrice a ainsi réalisé plusieurs scènes, réunies dans Transnasty.
Comme d'habitude, Evil Angel l'a découpé, afin de diffusé chaque scène sur son site.
Le thème central de ces scènes, ce sont des transsexuels nymphomanes, qui vont très loin dans la recherche du plaisir...
Pour celle où elle participe, Lena Kelly a deux partenaires masculins : King Epicleus et Michael DelRay.
Pas de salamalecs ! Lena Kelly a les fesses à l'air dès la première seconde et très vite, elle a un sexe dans la bouche et un autre dans la main...
Ensuite, allongée sur une table, elle se fait pénétrer...
Lena Kelly n'a pas le charisme d'une Aubrey Kate (également à l'affiche de Transnasty.) Elle n'a pas non plus les ambitions parfois dévorantes de Venus Lux. Elle en est consciente.
Pour exister, son crédo, c'est de n'avoir aucune pudeur. Non contente d'être prise, elle écarte les fesses pour que son partenaire aille plus loin.
On a ainsi l'illusion que Lena Kelly aime se livrer sans retenu. Que ce qui l'intéresse dans cette scène, c'est de se faire pilonner, encore et toujours. Et que même si la caméra ne tournait pas, elle ferait pareil !
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