Après quelques retard à l'allumage, Erika Lust (re)lance Lust Cinema.
Jusqu'ici, Lust Cinema était une boutique de films. Il proposait des compilations de XConfessions et des films "dans l'esprit d'Erika Lust".
Désormais, il doit devenir un vrai studio. Son premier long-métrage est The intern.
L'Américaine Maddie (Lena Anderson) part en Espagne, où elle travaille pour Erika Lust. Elle disparait peu après et sa sœur, Paseley (Casey Calvert) part enquêter. Elle devient à son tour stagiaire (en anglais : intern) pour Erika Lust.
La première étape de son enquête espagnole, c'est de rencontrer Michael (Michael Vegas.) Colocataire de Paseley, il est le dernier à l'avoir vue...
Paseley interroge ensuite les collègues de Maddie. Kali Sundhra, Bishop Black et Paulita Pappel jouent leur propre rôle.
On note qu'ils ont tous les trois participé à nombre de XConfessions. Kali Sundhra (qui tourne ici une rare -sa première ?- scène hétéro) étant l'une des rares pros récurrentes du site.
Au fil des discussions, Paseley découvre que Maddie, qu'elle croyait prude, était en fait assoiffée de sexe et bisexuelle. Et à son tour, grâce (ou à cause, c'est selon) à Michael Vegas, Paseley se laisse entrainer à la luxure...
Erika Lust réussit à bâtir une intrigue. Après des années à tourner des scènes isolées, ce n'est jamais facile de changer de format.
Pour cette première production de Lust Cinema, Erika Lust délaisse l'univers des XConfessions.
Terminés les acteurs non-professionnel, embauchés pour l'occasion ! La réalisatrice-productrice a préféré embauché des pros (Michael Vegas, Lena Anderson, Casey Calvert...), même si elle n'avait pas tourné avec eux.
Certains regretteront aussi l'absence du discours habituel sur la pansexualité et la confusion des genres, omniprésente dans les XConfessions.
Par contre, elle a gardé le gros travail sur la photo et les décors. On retrouve aussi le jeu d'acteurs avec des dialogues et des personnalités complexes. Les personnages sont mieux construits que dans nombre de films "normaux".
En résumé, c'est un beau coup d'essai. Vivement la prochaine production...
Jusqu'ici, Lust Cinema était une boutique de films. Il proposait des compilations de XConfessions et des films "dans l'esprit d'Erika Lust".
Désormais, il doit devenir un vrai studio. Son premier long-métrage est The intern.
L'Américaine Maddie (Lena Anderson) part en Espagne, où elle travaille pour Erika Lust. Elle disparait peu après et sa sœur, Paseley (Casey Calvert) part enquêter. Elle devient à son tour stagiaire (en anglais : intern) pour Erika Lust.
La première étape de son enquête espagnole, c'est de rencontrer Michael (Michael Vegas.) Colocataire de Paseley, il est le dernier à l'avoir vue...
Paseley interroge ensuite les collègues de Maddie. Kali Sundhra, Bishop Black et Paulita Pappel jouent leur propre rôle.
On note qu'ils ont tous les trois participé à nombre de XConfessions. Kali Sundhra (qui tourne ici une rare -sa première ?- scène hétéro) étant l'une des rares pros récurrentes du site.
Au fil des discussions, Paseley découvre que Maddie, qu'elle croyait prude, était en fait assoiffée de sexe et bisexuelle. Et à son tour, grâce (ou à cause, c'est selon) à Michael Vegas, Paseley se laisse entrainer à la luxure...
Erika Lust réussit à bâtir une intrigue. Après des années à tourner des scènes isolées, ce n'est jamais facile de changer de format.
Pour cette première production de Lust Cinema, Erika Lust délaisse l'univers des XConfessions.
Terminés les acteurs non-professionnel, embauchés pour l'occasion ! La réalisatrice-productrice a préféré embauché des pros (Michael Vegas, Lena Anderson, Casey Calvert...), même si elle n'avait pas tourné avec eux.
Certains regretteront aussi l'absence du discours habituel sur la pansexualité et la confusion des genres, omniprésente dans les XConfessions.
Par contre, elle a gardé le gros travail sur la photo et les décors. On retrouve aussi le jeu d'acteurs avec des dialogues et des personnalités complexes. Les personnages sont mieux construits que dans nombre de films "normaux".
En résumé, c'est un beau coup d'essai. Vivement la prochaine production...
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