Aujourd'hui, c'est porno japonais ! Si vous suivez ce blog, vous savez qu'un des points forts du soleil levant, ce sont ses films lesbiens.
Voici donc In Room 4... - The Lesbian I met in A Manga Cafe (en anglais dans le texte.) C'est une production U & K, une maison spécialisé dans le porno lesbien. Il date de 2015.
Parmi les sous-genres du porno Japonais, il y a le drama. Il s'agit d'un film avec une intrigue, qui progresse et un nombre limité de personnage. Dans un esprit "réaliste", les femmes ont un look "normal".
Le gros des drama, ce sont des mères au foyer qui s'ennuient et finissent dans le lit de leur voisine...
Ici, on a affaire à un scénario plus original et c'est pour cela que je vous le recommande.
D'ordinaire, la progression des drama était très lente. La première vraie scène n'arrivait qu'au bout d'un tiers de métrage...
Les producteurs ont trouvé une parade. On pourrait appeler ça "l'effet Premium Rush." Le film commence par une scène bien coquine (NDLA : de quoi aussi survendre le film dans la bande-annonce.) Il ne manque que Baba O'Reiley en musique de fond...
Mai Tamaki et Ruru Aizawa sont ainsi sur un lit anonyme, bien coiffées et bien maquillées, comme dans une scène de gonzo. Ça vous a plu ? Dommage, le reste du film n'est pas du tout du même tonneau !
Et là, retour en arrière.
Mai Tamaki travaille dans un café manga. Un café manga où les clients empruntent des DVD pornos et s'enferment ensuite dans des cabines...
Bref. Mai Tamaki s'ennuie, alors que les clients sont rares...
Arrive Ruru Aizawa. Toute timide, la jeune femme, loue un DVD lesbien. Mai Tamaki a le coup de foudre. Elle s'installe dans la cabine voisine et via la vidéo-surveillance, elle mate Ruru Aizawa. Cette dernière se caresse devant son DVD et Mai Tamaki se caresse en la regardant...
Une fois l'orgasme atteint, Ruru Aizawa s'en va. En payant, elle fait tomber la carte de visite de son salon de massage. Mai Tamaki la ramasse. La cliente lui dit de garder la carte.
Profitant d'un jour de repos, Mai Tamaki se rend au salon de massage (NDLA : qui est un salon de massage "normal".) Ruru Aizawa masse son corps. La massée n'en peut plus et elle se jete sur la masseuse ! Seulement voilà, Ruru Aizawa a beau aimer les pornos lesbiens, ça n'est qu'un fantasme...
Retour à la case départ pour Mai Tamaki. Surprise : Ruru Aizawa revient dans le manga café ! L'employée dit à sa patronne, hors-champ, qu'elle va faire du ménage. Une excuse pour s'enfermer dans une cabine avec son amoureuse...
Puis, comme souvent dans les drama, le film se termine par une scène dans une chambre. Ruru Aizawa, désinhibée, n'hésite plus à prendre l'initiative dans les ébats...
L'intérêt de ce film, c'est le jeu des actrices : les hésitations, la découverte du saphisme et du corps de l'autre... L'accent est davantage placé sur la romance de ce couple en formation, que sur leurs prouesses au jeu de la bête à deux dos...
Voici donc In Room 4... - The Lesbian I met in A Manga Cafe (en anglais dans le texte.) C'est une production U & K, une maison spécialisé dans le porno lesbien. Il date de 2015.
Parmi les sous-genres du porno Japonais, il y a le drama. Il s'agit d'un film avec une intrigue, qui progresse et un nombre limité de personnage. Dans un esprit "réaliste", les femmes ont un look "normal".
Le gros des drama, ce sont des mères au foyer qui s'ennuient et finissent dans le lit de leur voisine...
Ici, on a affaire à un scénario plus original et c'est pour cela que je vous le recommande.
D'ordinaire, la progression des drama était très lente. La première vraie scène n'arrivait qu'au bout d'un tiers de métrage...
Les producteurs ont trouvé une parade. On pourrait appeler ça "l'effet Premium Rush." Le film commence par une scène bien coquine (NDLA : de quoi aussi survendre le film dans la bande-annonce.) Il ne manque que Baba O'Reiley en musique de fond...
Mai Tamaki et Ruru Aizawa sont ainsi sur un lit anonyme, bien coiffées et bien maquillées, comme dans une scène de gonzo. Ça vous a plu ? Dommage, le reste du film n'est pas du tout du même tonneau !
Et là, retour en arrière.
Mai Tamaki travaille dans un café manga. Un café manga où les clients empruntent des DVD pornos et s'enferment ensuite dans des cabines...
Bref. Mai Tamaki s'ennuie, alors que les clients sont rares...
Arrive Ruru Aizawa. Toute timide, la jeune femme, loue un DVD lesbien. Mai Tamaki a le coup de foudre. Elle s'installe dans la cabine voisine et via la vidéo-surveillance, elle mate Ruru Aizawa. Cette dernière se caresse devant son DVD et Mai Tamaki se caresse en la regardant...
Une fois l'orgasme atteint, Ruru Aizawa s'en va. En payant, elle fait tomber la carte de visite de son salon de massage. Mai Tamaki la ramasse. La cliente lui dit de garder la carte.
Profitant d'un jour de repos, Mai Tamaki se rend au salon de massage (NDLA : qui est un salon de massage "normal".) Ruru Aizawa masse son corps. La massée n'en peut plus et elle se jete sur la masseuse ! Seulement voilà, Ruru Aizawa a beau aimer les pornos lesbiens, ça n'est qu'un fantasme...
Retour à la case départ pour Mai Tamaki. Surprise : Ruru Aizawa revient dans le manga café ! L'employée dit à sa patronne, hors-champ, qu'elle va faire du ménage. Une excuse pour s'enfermer dans une cabine avec son amoureuse...
Puis, comme souvent dans les drama, le film se termine par une scène dans une chambre. Ruru Aizawa, désinhibée, n'hésite plus à prendre l'initiative dans les ébats...
L'intérêt de ce film, c'est le jeu des actrices : les hésitations, la découverte du saphisme et du corps de l'autre... L'accent est davantage placé sur la romance de ce couple en formation, que sur leurs prouesses au jeu de la bête à deux dos...
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