Aujourd'hui, on va parler d'un sous-genre du porno lesbien japonais : le Girl trip.
Je vous rassure, c'est moins bizarre que le futanari... Là, vous pourrez réaliser votre fantasme de percer l'intimité des lesbiennes !
Quel que soit le pays, le porno lesbien s'adresse avant tout à un public de mâles hétéros. Beaucoup d'hommes s'interrogent sur la vie intime des lesbiennes. Un peu par voyeurisme. Et un peu parce qu'on se demande comment vous, mesdames, pouvez satisfaire votre libido, sans une bonne bite !
Montrer le quotidien (supposé) de couples de lesbiennes, c'est le fond de commerce de Viv Thomas, du site We Live Together (qui a depuis évolué vers des scènes classiques de gonzo lesbien) ou de la maison de production Sweetheart Video. Au Japon, il existe des maisons spécialisées comme LADYxLADY ou U&K Queer.
Mais dans le Girl trip, point de scène de drague. On se contente de voir un couple de lesbiennes s'offrir un week-end dans un onsen, ces bains publics non-mixte. Pour le côté "réaliste", ce sont des actrices plus âgées, moins maquillées et surtout, méconnues (afin de les faire passer comme des filles lambda.) Souvent, on veut nous faire croire que les filles se filment elles-même.
De plus, d'ordinaire, les films ont tendance à enchainer les scènes. Dans le Girl Trip, on vous montre tout (ou presque !) On voit les filles prendre le train, emprunter un taxi, faire quelques selfies, manger, etc. La société japonaise est très conservatrice. Pas question de s'embrasser en public ou de se balader main dans la main. A peine s'offrent-elles quelques bisous volés.
Et enfin, le soir, une fois la porte de la chambre fermée, elles peuvent enfin gouter les joies du saphisme...
Parfois, la première scène n'a lieu qu'au deux-tiers du métrage ! C'est dire si l'emphase est mise sur cet aspect "vie privée" et non sur le sexe à proprement parler.
(NDLA : la scène est sciemment mal cadrée, vu qu'elle est filmée par la caméra d'une des filles.)
Pour rajouter du piment, il faut que les filles soient dans une situation inhabituelle. Le plus fréquent, c'est que l'une des fille (voir les deux) n'aie jamais fait l'amour avec une personne du même sexe. Ou bien, que ce soit la première fois que le couple parte en vacances. Parfois aussi, l'une des filles est mariée à un homme.
Comme d'habitude, dans le porno-réalité, un œil avisé remarquera qu'il y a des détails qui clochent. D'une part, on les voit rarement transporter des valises. Et parfois, lors des scènes de sexe, il y a un contre-champ (généralement, une vue du plafond.) De quoi trahir la présence d'une équipe de tournage...
Et pourquoi dans un onsen ? Certains établissement proposent des salles privées, avec des baignoires n'accueillant que deux ou trois personnes. Les filles peuvent en réserver une et s'y lutiner sans risque d'être dérangées par d'autres clientes. Et accessoirement, on peut soupçonner qu'à la morte-saison, les établissements cassent les prix et accueillent des producteurs de porno, afin de faire la soudure...
Je vous rassure, c'est moins bizarre que le futanari... Là, vous pourrez réaliser votre fantasme de percer l'intimité des lesbiennes !
Quel que soit le pays, le porno lesbien s'adresse avant tout à un public de mâles hétéros. Beaucoup d'hommes s'interrogent sur la vie intime des lesbiennes. Un peu par voyeurisme. Et un peu parce qu'on se demande comment vous, mesdames, pouvez satisfaire votre libido, sans une bonne bite !
Montrer le quotidien (supposé) de couples de lesbiennes, c'est le fond de commerce de Viv Thomas, du site We Live Together (qui a depuis évolué vers des scènes classiques de gonzo lesbien) ou de la maison de production Sweetheart Video. Au Japon, il existe des maisons spécialisées comme LADYxLADY ou U&K Queer.
Mais dans le Girl trip, point de scène de drague. On se contente de voir un couple de lesbiennes s'offrir un week-end dans un onsen, ces bains publics non-mixte. Pour le côté "réaliste", ce sont des actrices plus âgées, moins maquillées et surtout, méconnues (afin de les faire passer comme des filles lambda.) Souvent, on veut nous faire croire que les filles se filment elles-même.
De plus, d'ordinaire, les films ont tendance à enchainer les scènes. Dans le Girl Trip, on vous montre tout (ou presque !) On voit les filles prendre le train, emprunter un taxi, faire quelques selfies, manger, etc. La société japonaise est très conservatrice. Pas question de s'embrasser en public ou de se balader main dans la main. A peine s'offrent-elles quelques bisous volés.
Et enfin, le soir, une fois la porte de la chambre fermée, elles peuvent enfin gouter les joies du saphisme...
Parfois, la première scène n'a lieu qu'au deux-tiers du métrage ! C'est dire si l'emphase est mise sur cet aspect "vie privée" et non sur le sexe à proprement parler.
(NDLA : la scène est sciemment mal cadrée, vu qu'elle est filmée par la caméra d'une des filles.)
Pour rajouter du piment, il faut que les filles soient dans une situation inhabituelle. Le plus fréquent, c'est que l'une des fille (voir les deux) n'aie jamais fait l'amour avec une personne du même sexe. Ou bien, que ce soit la première fois que le couple parte en vacances. Parfois aussi, l'une des filles est mariée à un homme.
Comme d'habitude, dans le porno-réalité, un œil avisé remarquera qu'il y a des détails qui clochent. D'une part, on les voit rarement transporter des valises. Et parfois, lors des scènes de sexe, il y a un contre-champ (généralement, une vue du plafond.) De quoi trahir la présence d'une équipe de tournage...
Et pourquoi dans un onsen ? Certains établissement proposent des salles privées, avec des baignoires n'accueillant que deux ou trois personnes. Les filles peuvent en réserver une et s'y lutiner sans risque d'être dérangées par d'autres clientes. Et accessoirement, on peut soupçonner qu'à la morte-saison, les établissements cassent les prix et accueillent des producteurs de porno, afin de faire la soudure...
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