On ne parle pas assez de porno japonais, en général. Pourtant, le pays du soleil levant réserve nombre de pépite.
Aujourd'hui, voici Lesbian Underground, de F-Project. Un film sorti en 2011. Le porno nippon aime les sous-genres (et les sous-sous-genre) ; ici on a affaire à un drama (fiction) lesbien.
Le porno japonais adore les relations interdites, voire maudites (adultère, inceste...) Depuis peu, la communauté LGBT est acceptée sur l'archipel (dans les grandes villes.) Mais dans le X, les lesbiennes se cachent pour s'aimer. C'est un matériau inépuisable pour les drama.
Ichika Aimi est la narratrice de Lesbian Underground. A 27 ans (NDLA : un âge canonique, pour une femme célibataire, au Japon), elle n'ose accepter sa sexualité. Elle sort avec Chihiro Asai, qui s'assume beaucoup plus. A peine monte-t-elle dans la voiture de son amante qu'elle la carresse à travers la jupe...
Chihiro Asai l'emmène dans un club échangiste lesbien, en pleine nuit. Avant d'entrer dans la salle principale, les femmes doivent d'abord enfiler un costume. Elles optent pour des simili-costume de policiers en skaï.
Puis elles entrent dans la salle. Il y a une infirmière, une soubrette... Et elles se font toutes des mamours. Ichika Aimi n'est pas à l'aise et elle scrute les autres couples, avec une pointe de dégout. Au point de se faire vertement remontée par ses voisines...
Un verre de vin rouge plus tard, Ichika Aimi est plus détendue. Chihiro Asai en profite. Elle l'embrasse et de fil en aiguille, Ichika Aimi se retrouve allongée, impudique avec son amante qui lui dévore l'entrejambe...
Notez qu'il aura fallu attendre 33 minutes pour voir un premier cunnilingus !
Après cela, Chihiro Asai file au petit coin. Ichika Aimi, elle, est toute chose après cette séance de saphisme. Elle se laisse approcher par l'infirmière, qui la bécote, puis l'entraine dans une arrière-salle...
Chihiro Asai débarque et surprend sa amante jouissant d'une autre ! La soubrette s'interpose. Ce n'est pas Citizen Kane, mais le jeu des actrices est probant, avec la jalousie de l'une et l'autre, prise en faute.
Le couple fait la paix, tandis que la soubrette et l'infirmière s'activent à côté d'elles. Signalons d'ailleurs que dans la bande annonce et sur la jaquette, cette scène est un peu survendue...
Puis les quatre femmes retournent dans la pièce principale pour danser. Une danse toute habillée, mais très sensuelle...
Après cela, Chihiro Asai ramène Ichika Aimi chez elle. Naguère très timide, cette dernière est émoustillée et elle pousse l'autre sur le lit, pour une nouvelle partie de bêtes à deux dos...
Après l'amour, les deux femmes prennent le bain ensemble. Ichika Aimi a choisit : elle est lesbienne.
A bien y réfléchir, ce film ne comporte pas beaucoup de scène et ça reste très vanila. De plus, il n'y avait pas de gros moyens (sept actrices, trois décors...) Pourtant, ça marche.
Pendant 122 minutes, on n'ose pas toucher au chariot, car on est pris par l'intrigue. Ichika Aimi et Chihiro Asai changent plusieurs fois de rôle et d'attitude, l'une vis à vis de l'autre.
Comme quoi, pas besoin de dépenser des millions ou de jouer la surenchère du sexe, pour faire un porno intéressant...
Aujourd'hui, voici Lesbian Underground, de F-Project. Un film sorti en 2011. Le porno nippon aime les sous-genres (et les sous-sous-genre) ; ici on a affaire à un drama (fiction) lesbien.
Le porno japonais adore les relations interdites, voire maudites (adultère, inceste...) Depuis peu, la communauté LGBT est acceptée sur l'archipel (dans les grandes villes.) Mais dans le X, les lesbiennes se cachent pour s'aimer. C'est un matériau inépuisable pour les drama.
Ichika Aimi est la narratrice de Lesbian Underground. A 27 ans (NDLA : un âge canonique, pour une femme célibataire, au Japon), elle n'ose accepter sa sexualité. Elle sort avec Chihiro Asai, qui s'assume beaucoup plus. A peine monte-t-elle dans la voiture de son amante qu'elle la carresse à travers la jupe...
Chihiro Asai l'emmène dans un club échangiste lesbien, en pleine nuit. Avant d'entrer dans la salle principale, les femmes doivent d'abord enfiler un costume. Elles optent pour des simili-costume de policiers en skaï.
Puis elles entrent dans la salle. Il y a une infirmière, une soubrette... Et elles se font toutes des mamours. Ichika Aimi n'est pas à l'aise et elle scrute les autres couples, avec une pointe de dégout. Au point de se faire vertement remontée par ses voisines...
Un verre de vin rouge plus tard, Ichika Aimi est plus détendue. Chihiro Asai en profite. Elle l'embrasse et de fil en aiguille, Ichika Aimi se retrouve allongée, impudique avec son amante qui lui dévore l'entrejambe...
Notez qu'il aura fallu attendre 33 minutes pour voir un premier cunnilingus !
Après cela, Chihiro Asai file au petit coin. Ichika Aimi, elle, est toute chose après cette séance de saphisme. Elle se laisse approcher par l'infirmière, qui la bécote, puis l'entraine dans une arrière-salle...
Chihiro Asai débarque et surprend sa amante jouissant d'une autre ! La soubrette s'interpose. Ce n'est pas Citizen Kane, mais le jeu des actrices est probant, avec la jalousie de l'une et l'autre, prise en faute.
Le couple fait la paix, tandis que la soubrette et l'infirmière s'activent à côté d'elles. Signalons d'ailleurs que dans la bande annonce et sur la jaquette, cette scène est un peu survendue...
Puis les quatre femmes retournent dans la pièce principale pour danser. Une danse toute habillée, mais très sensuelle...
Après cela, Chihiro Asai ramène Ichika Aimi chez elle. Naguère très timide, cette dernière est émoustillée et elle pousse l'autre sur le lit, pour une nouvelle partie de bêtes à deux dos...
Après l'amour, les deux femmes prennent le bain ensemble. Ichika Aimi a choisit : elle est lesbienne.
A bien y réfléchir, ce film ne comporte pas beaucoup de scène et ça reste très vanila. De plus, il n'y avait pas de gros moyens (sept actrices, trois décors...) Pourtant, ça marche.
Pendant 122 minutes, on n'ose pas toucher au chariot, car on est pris par l'intrigue. Ichika Aimi et Chihiro Asai changent plusieurs fois de rôle et d'attitude, l'une vis à vis de l'autre.
Comme quoi, pas besoin de dépenser des millions ou de jouer la surenchère du sexe, pour faire un porno intéressant...
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