Aujourd'hui, Marie Luv se fait prendre par derrière ! Une scène issue des illustres archives de Private.
Dans les années 2000, le porno "ebony" était très stéréotypé. La scène débutait toujours par quelques notes de hip-hop. Les actrices -souvent obèses- apparaissaient d'emblée en petite tenue. Durant l'acte, elles se devaient de jurer comme des charretières par des pseudos gangsters -noirs- aux sexes énormes.
Marie Luv débuta ainsi, en 2000, dans Freaks Whoes And Flows 24. Puis elle tourna dans des films aux titres éloquents, pour ne pas dire affligeants, comme Hot Girlz 1, H.T.'s Black Street Hookers 38, Bad Ass Black Mamma Jammas, Booty Talk 48, Sole Sistas 4, Hood Hoppin' 1, etc.
Elle dut attendre quatre ans pour tourner d'autres genres de scènes. Private fit quatre fois appel à elle.
Cette scène sans nom date de 2007. A priori, les photos furent uniquement diffusées dans Pirate N°104 et il n'y eu pas de vidéo.
Le scénario est un peu plus complexe que d'habitude.
Au début, l'acteur (non-crédité) est entièrement saucissonné. Marie Luv joue les dominatrices.
Elle profite de la situation pour le faire languir. Elle ne l'embrasse ainsi que du bout des lèvres.
S'il veut qu'il la libère, il doit être obéissant. Elle s'assoit ainsi sur sa bouche, pour qu'il lui dévore son intimité.
En récompense de son léchouillage, elle lui enlève ses liens. L'acteur se déshabille et reprend sa tarte aux poils, passant également sur sa rondelle. Et elle tient sa tête pour qu'il ne s'écarte pas de sa besogne...
Ensuite, Marie Luv s'occupe enfin de lui.
Là, le rapport de force s'inverse. Marie Luv devient une chienne en chaleur, offrant ses fesses et c'est son amant qui choisit ou pas de la pénêtrer.
C'est cette tension permanente et ce rapport dominé/dominant, qui pimentent cette scène.
Signalons que d'autres scènes de ce numéro de Pirate contiennent du fétichisme soft, avec cravaches et laisses...
Dans les années 2000, le porno "ebony" était très stéréotypé. La scène débutait toujours par quelques notes de hip-hop. Les actrices -souvent obèses- apparaissaient d'emblée en petite tenue. Durant l'acte, elles se devaient de jurer comme des charretières par des pseudos gangsters -noirs- aux sexes énormes.
Marie Luv débuta ainsi, en 2000, dans Freaks Whoes And Flows 24. Puis elle tourna dans des films aux titres éloquents, pour ne pas dire affligeants, comme Hot Girlz 1, H.T.'s Black Street Hookers 38, Bad Ass Black Mamma Jammas, Booty Talk 48, Sole Sistas 4, Hood Hoppin' 1, etc.
Elle dut attendre quatre ans pour tourner d'autres genres de scènes. Private fit quatre fois appel à elle.
Cette scène sans nom date de 2007. A priori, les photos furent uniquement diffusées dans Pirate N°104 et il n'y eu pas de vidéo.
Le scénario est un peu plus complexe que d'habitude.
Au début, l'acteur (non-crédité) est entièrement saucissonné. Marie Luv joue les dominatrices.
Elle profite de la situation pour le faire languir. Elle ne l'embrasse ainsi que du bout des lèvres.
S'il veut qu'il la libère, il doit être obéissant. Elle s'assoit ainsi sur sa bouche, pour qu'il lui dévore son intimité.
En récompense de son léchouillage, elle lui enlève ses liens. L'acteur se déshabille et reprend sa tarte aux poils, passant également sur sa rondelle. Et elle tient sa tête pour qu'il ne s'écarte pas de sa besogne...
Ensuite, Marie Luv s'occupe enfin de lui.
Là, le rapport de force s'inverse. Marie Luv devient une chienne en chaleur, offrant ses fesses et c'est son amant qui choisit ou pas de la pénêtrer.
C'est cette tension permanente et ce rapport dominé/dominant, qui pimentent cette scène.
Signalons que d'autres scènes de ce numéro de Pirate contiennent du fétichisme soft, avec cravaches et laisses...
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