Deep in the Saddle

Pussykat s'amuse en solo sur une selle très particulière... Une scène d'AnalVids (ex-Legal Porno.)

Ici, l'actrice Française joue les médecins. En plein service, elle s'offre une pause...

Notez l'effort sur le décor. Assez rare dans le porno gonzo.

Elle considère le sybian avec le plus grand sérieux.

"Il marche !"

Avant de le chevaucher, il convient de le lubrifier.

Notez les expressions de l'actrice, qui passe de l'indifférence à la curiosité, puis qui commence à être excitée. Un jeu toute en subtilité.

Elle effectue ensuite un strip-tease. Là, par contre, on perd de la spontanéité. D'autant plus que sous la blouse, elle porte de la lingerie fine.

Pour faire monter la tension, PussyKat passe le phallus artificiel sur ses seins...

Puis elle l'utilise comme un vibromasseur...

Puis, une fois qu'elle est suffisamment excitée, elle s'empale dessus.

C'est visiblement une habituée du Sybian. Elle n'arrête pas de régler la machine, au gré de ses envies.

On sent que le désir monte en elle. Elle abandonne la selle pour finir de se déshabiller et se caresser.

Puis elle place la machine de biais. Comme cela, le spectateur profite au mieux du spectacle.

D'habitude, le sybian s'utilise uniquement en pénétration vaginale. Mais Pussykat l'insère dans ses fesses.

Jusqu'ici, la caméra se tenait à distance. Néanmoins, maintenant, elle se rapproche.

Et toujours, ce jeu très subtile de Pussykat, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte et une main qui ouvre discrètement son abricot face à l'objectif.

Y prend-elle vraiment du plaisir ? Sinon, elle sait très bien feindre l'extase !

Enfin, elle se retourne, toujours pour que le spectateur ait la meilleure vue...

Et toujours ce masque de plaisir...

Une scène tournée quasiment en plan fixe, avec une seule caméra. Cela ajoute de l'intimité. On a l'impression qu'il n'y a que Pussykat et nous. Que l'actrice s'offre au spectateur avec un naturel certain. Qu'elle découvre le sybian et les possibilités qu'il offre au fil du temps.

Une sobriété et une lenteur (dans le bon sens du terme) à l'opposé de ce genre de scènes gonzo.