Jogging club

Je ne me lasse pas des archives de Private !

Cette scène baptisée Jogging club (c'était avant les moteurs de recherche) est typique des années 90. Actrice principale Hongroise ? Check ! Tenues affreuses ? Check ! Scénario pas du tout réaliste et qui tient sur un Post-it ? Check !

Erika Bella fut l'une des figures de proue de la vague d'actrices Hongroises des années 90. Elle débuta en 1993. L'année suivante, elle n'était encore qu'une débutante, lorsque Private l'embaucha. Cette scène, Jogging Club, était extraite non pas d'un film, mais d'un magazine papier, Pirate. C'était un bon moyen, pour Private de tester des novices. Ainsi, une fois qu'elle fit ses preuves, elle tourna des scène gonzo pour Private Video Magazine et enfin, seulement, la maison Suédoise lui offrit des rôles dans des films, comme Virgin Treasures.

Ici, donc, Erika Bella faisait son jogging au bord de la plage. Un inconnu l'aborde et lui proposa de le suivre dans sa maison, où ses deux potes se baladent en slip, en pleine journée. En toute logique, l'actrice suit l'homme.

Une fois à l'intérieur, elle s'occupe des deux amis... Notez la présence de Philippe Soine, devenu célèbre pour le meme : "Don't call the police, he's got a dick."

Erika Bella s'empale sur l'un et prend les deux autres en main...

Notez qu'elle porte de la lingerie à dentelle sous son jogging (le top, pour courir !) Et plus généralement, visez les tenues affreuses de tous les protagonistes...

La Hongrie n'est guère réputée pour ses plages. Sachant que dans le même numéro, ce même Philippe Soine prenait Dalila devant un panneau "Deauville", on peut imaginer que cette scène-là fut également tournée sur la cote normande.

Dés les années 80, le X Italien fit appel à des starlettes Hongroises. A la chute du Mur, ce fut la ruée. Pourtant, c'est en Allemagne qu'Erika Bella commença sa carrière. Puis elle passa en France, apparaissant notamment dans Le parfum de Mathilde. Et ce n'est après cela qu'elle vint en Italie, où elle resta a priori jusqu'à la fin de sa carrière, vers 2001.

L'un des point-forts des Hongroises, c'est qu'elles n'avaient pas froid aux fesses... Alors que même Tabatha Cash réalisait des sodomies à doses homéopathiques, Erika Bella, elle, se faisait systématiquement prendre par derrière. Dans les films, elle avait d'ailleurs souvent des scènes sans dialogue, mais avec sodomie. Scène mise bien en évidence sur la jaquette de la cassette...

Après avoir donné ses entrées à plusieurs hommes en même temps, elle reçoit leurs semences sur le corps.

Pour ceux qui veulent voir davantage d'images d'Erika Bella en jogging, sachez qu'elle l'a ressorti pour Rail Road gangbang (une scène filmée, cette fois.)